Gonzalo Quesada (manager du Stade Français après la victoire 26-24 face à Toulon) : « Quand vous regardez les matches du Top 14, c’est toujours des matches serrés. On est tombé sur une grosse équipe de Toulon. Je suis satisfait de l’état d’esprit de l’équipe et de sa capacité à rester sereine pour finalement gagner ce match. On aurait pu un peu mieux gérer nos temps forts. On ne jouait pas assez, on était trop dans la retenue, on ne prenait pas assez de risques. On travaille pour que l’équipe attaque, même s’il nous manquait des joueurs. »
Notre force, c’est la performance collective. On a profité de la Coupe d’Europe pour travailler l’intensité de notre rugby. On a pu sentir que malgré les rotations, l’équipe garde son niveau. On a vite changé la charnière et ils ont fait les bons choix. ça fait plaisir. Le gros enseignement, c’est que l’équipe a gardé confiance. Si on commence à réfléchir au classement, on va se perdre. Il faut garder l’humilité et se concentrer sur ce qu’on doit mettre en place. On ne va pas se tromper d’objectif. »
« Ce serait bien qu’on arrête de se mettre en danger. On a des trous d’air […]. C’est bien de revenir, ça prouve qu’il y a une âme, mais ce serait bien de contrôler plus le match »
Paul Gabrillagues (capitaine du Stade Français) : « Ce serait bien qu’on arrête de se mettre en danger. On a des trous d’air. Comme face à La Rochelle. C’est bien de revenir, ça prouve qu’il y a une âme, mais ce serait bien de contrôler plus le match. En première période, on a fait trop les montagnes russes. En seconde période, on a été plus clinique, on a mieux joué dans notre camp. On a aussi essayé d’envoyer du jeu. Après, le classement, on le regarde, mais ça va trop vite. C’est pour ça que tous les week-ends il faut être à 300 %. C’est une boucherie. »
Lucas Da Silva (talonneur du Stade Français) : « Là ce n’est pas le scénario idéal, on se fait peur. On aimerait bien faire des matches pleins, en première période, joué des ballons qu’il fallait pas jouer, on était un peu loin au score, il fallait aller jouer chez eux, garder la conquête, continuer le travail de sape et jouer chez eux. Le banc a fait du bien, avec un souffle nouveau, on gagnait les collisions. »
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