« Le groupe France est désormais limité à 31 joueurs. Qu’est-ce que cela change pour vous ?
Ça ne change pas grand-chose, on continue de travailler correctement. Ce qu’on voulait, c’était être 42 pour avoir de bonnes charges de travail et des oppositions. Mais on a la chance d’avoir l’équipe de France à 7 qui participe à nos entraînements, on arrive à combler ce manque de joueurs.
Vu la situation sanitaire, avez-vous l’appréhension d’être testé positif et de voir le prochain match, voire le Tournoi remis en question ?
On est testés plusieurs fois par semaine, on sait si un joueur a des symptômes ou pas. Pour le cas des Toulousains, il s’avère qu’ils ont tous été testés négatifs, donc on continue notre processus. Tout ce qui concerne le Covid, on ne peut pas le contrôler. On veut juste être présents sur le terrain pour jouer le Tournoi.
« On a été bien intégrés par les anciens, ils nous ont mis dans l’ambiance, dans leur mode de travail »
Avez-vous l’impression que l’équipe de France fait de nouveau peur à ses adversaires ?
De ce que je peux lire dans la presse, les adversaires portent un autre regard sur nous. Après, on se connaît, on continue à se chercher, vu qu’on a fait moins de dix matches ensemble l’année dernière. Ça se passe effectivement plutôt bien, l’objectif est de continuer à gagner des matches et se recentrer sur nous.
Comment expliquez-vous la rapide intégration des jeunes en équipe de France ?
C’est déjà grâce à l’expérience qu’on a eue en Championnat. Et puis, quand on est arrivés en équipe de France, on a été bien intégrés par les anciens, ils nous ont mis dans l’ambiance, dans leur mode de travail.
Comment occupez-vous vos temps libres, dans cet hôtel privatisé ? Ne trouvez-vous pas le temps un peu long ?
Non, on trouve toujours quelque chose à faire. L’hôtel nous a mis à disposition une sorte de salle de jeux, où on peut se distraire. On s’occupe comme on peut, certains jouent aux cartes, d’autres à des jeux de société, d’autres discutent. On a le temps de prendre du plaisir ensemble. Et généralement le temps qu’on a nous permet de nous reposer et de nous soigner. Les charges de travail sont importantes. On est forcément bloqués à l’hôtel, mais on n’est pas à Nice pour faire les touristes ou visiter la ville. »
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