Accusé avec son ami Hugo Auradou d’avoir agressé sexuellement une femme en Argentine, le Rochelais Oscar Jegou nie toute forme d’agression et de violence.
Parole contre parole. Arrêtés lundi 8 juillet après la plainte déposée par une femme, qui les accuse d’agression sexuelle avec violence dans la nuit qui a suivi le premier test-match des Bleus, samedi, à Mendoza, Hugo Auradou et Oscar Jegou sont entendus par la police.
Comme l’explique Rugbyrama, citant RMC Sport, le Rochelais nie toute agression sexuelle et violence. Contacté par la radio, l’entourage assure avoir pu échanger par message avec le jeune joueur (21 ans), c’est notamment le cas de son frère. “Je suis innocent, je n’ai rien fait. J’ai gâché ma vie.” Voilà ce qu’aurait écrit le néocapé bleu.
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Dans la soirée de samedi qui a suivi la victoire du XV de France à Mendoza, la plaignante serait rentrée à l’hôtel des Bleus de son plein gré, selon Jegou. Puis, les joueurs de Pau et de La Rochelle auraient chacun leur tour eu une relation sexuelle consentie avec la plaignante. Cette dernière aurait quitté l’hôtel le lendemain avant d’aller porter plainte. La famille craint que les deux joueurs aient été ciblés par une arnaque.
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Toujours en détention à Buenos Aires, les deux Bleus doivent être transférés à Mendoza. L’éventuel procès devant se tenir dans la ville où ont eu lieu les faits. L’entourage de Jégou craint les éventuelles conditions de détention du joueur. Les deux joueurs sont représentés sur place par un cabinet d’avocats trouvé par la FFR avec l’aide d’Augustin Pichot, ancien coéquipier argentin de David Auradou au Stade Français.
